Ta vie bascula un soir d’orage
Fendu en ton cœur
Atteint dans ta chair claire, lacérée
Au milieu d’autres assistant silencieux à ton déclin
Maintenant tu gis et trembles encore
Emporté par ta chute, déchu auprès de tes semblables
Dans une élégance finale, une révérence inattendue.
La clameur du vent s’essouffle, extinction dans tes poumons broyés
Lourdement, effondré, sans signe d’un lendemain.
Sans prévenance de fin, ta vie s’est figée….
Copie et diffusion non autorisées. Droits d’auteur réservés